L'ambroisie à feuille d'armoise est ce que l'on appelle couramment une mauvaise herbe. Elle fait partie de la même famille que le tournesol (Astéracées ou Composées). Sa morphologie se transforme au cours de son développement pour donner, au moment de la floraison, un buisson qui peut atteindre plus d'un mètre de haut.
Pour en savoir plus sur la plante et ses effets, consultez le site sante.gouv.fr
Les allergies provoquées par le pollen d'ambroisie étant directement proportionnelles, en fréquence et en gravité, à la concentration des grains de pollen dans l'air, la région Auvergne-Rhône-Alpes fait l'objet d'une surveillance constante, dont les résultats sont mis à la disposition du public sur www.pollens.fr
Si la zone reste localisée avec seulement quelques plants, vous pouvez arracher la plante (hors période de floraison, pour éviter tout risque d'allergie).
Si la zone infestée est conséquente : signalez sa présence à l'aide de la plate-forme « signalement ambroisie » :
• Site internet
• Application mobile « signalement ambroisie »
• Email : contact@signalement-ambroisie.fr
• Téléphone : 0 972 376 888
Votre signalement sera communiqué au référent ambroisie de la commune, qui engagera les actions nécessaires à l'élimination des plants.
Plus d’informations sur :
Pour répondre aux problèmes d'allergie aux pollens d'ambroisie (plus de 10% de la population française touchée), la CAPI (Communauté d'agglomération Porte de l'Isère) a engagé un partenariat avec la FREDON afin d'accompagner les communes sur cette thématique (formations, diagnostics, campagnes d'arrachage et de végétalisation).
Depuis le 1er janvier 2019, la réglementation en matière de pesticides pour les particuliers évolue. Une manière de protéger notre santé et l’environnement. Pour les jardiniers amateurs, une interdiction d’achat, d’usage et de détention de produits phytosanitaires de synthèse s’appliquera.
Cultiver des plantes locales à proximité les unes des autres pour qu’elles s’apportent des bénéfices mutuels, utiliser les plantes et les animaux auxiliaires pour lutter contre les maladies et les ravageurs, alterner les cultures, adopter le paillage pour protéger les végétaux…
Retrouvez l’ensemble des conseils et solutions pour un jardin naturel sur le www.jardiner-autrement.fr
Bidons, bouteilles, flacons, sprays, et autres contenants, qu’ils soient vides, souillés ou avec un reste de pesticides doivent être rapportés en déchetterie, si possible dans leur emballage d’origine. Il ne faut
en aucun cas les jeter à la poubelle, ni les déverser.
L’arbre est un être vivant, il faut donc prévoir son évolution et l’implanter au bon endroit pour lui assurer une croissance harmonieuse. Préserver son développement futur en tenant compte de l’espace aérien et souterrain qui lui seront nécessaires.
Pour rappel, les plantations de votre jardin sont soumises à certaines règles de distance et de hauteur pour éviter d'importuner votre voisinage, à savoir :
Il appartient donc à chacun de tailler régulièrement ses végétaux afin de respecter ces règles de hauteur pour le bien-être de tous.
Le bruit fait partie de notre quotidien, de ce fait il est important de savoir comment gérer le seuil de tolérance de nos décibels (dB). Cet indice, qui permet de calculer la valeur de décibels dans notre environnement, bénéficie d’un arrêté préfectoral afin de règlementer les gestes à opter afin de préserver la tranquillité sonore de votre voisinage.
Il est important de ne pas oublier que les nuisances peuvent aussi être visuelle et olfactives :
Les mauvaises odeurs, barbecue ou poussière, des questions de gêne à ne pas négliger afin pour préserver le respect et l’hygiène de tous.
Arrêté préfectoral n° 97-5126 du 31 juillet 1997 :
Article 1 : Tout bruit de nature à porter atteinte à la tranquillité du voisinage ou à la santé de l’homme, par sa durée, sa répétition ou son intensité, causé sans nécessité ou dû à un défaut de précaution, est interdit, de jour comme de nuit.
Article 9 : … Les travaux de bricolage et de jardinage utilisant des appareils susceptibles de causer une gêne pour le voisinage en raison de leur intensité sonore tels que tondeuse à gazon, motoculteur, tronçonneuse, perceuse, raboteuse ou scie ne sont autorisés qu’aux horaires suivants :
Pour vos déchets verts, pensez à vous rendre dans la déchèterie de la Pierre Millière.
Le frelon asiatique poursuit sa progression sur le territoire régional. Outre la problématique liée à sa présence sur les zones urbanisées, il représente une véritable menace pour la biodiversité et la santé des abeilles.
Un dispositif de surveillance et de lutte, piloté par la Fédération Régionale des Groupement de Défense Sanitaire (FRGDS), vise à repérer et faire détruire les nids par des entreprises spécialisées avant la sortie des fondatrices (à la fin de l’automne), afin de maintenir la population de frelons asiatiques à un niveau acceptable.
Deux types de nids peuvent être observés au cours de l’année :
> Les nids primaires : visibles dès les premiers beaux jours, au printemps,
> Les nids secondaires : visibles dès le début de l’été, correspondant à une délocalisation de la colonie qui abandonne le nid primaire, trop petit.
2021 : Des indicateurs à la hausse
L'année 2020 a été une année record en termes de présence du frelon asiatique sur l’ensemble de la région Auvergne Rhône-Alpes, avec une hausse explosive du nombre de nids découverts (2900 en 2020 contre 786 en 2019), sans préjuger de l'évolution attendue cette année, la campagne 2020 nous incite à la plus grande vigilance pour 2021.
Il est donc essentiel de déclarer, nous comptons sur vous !
Le Centre de Sauvegarde de la Faune Sauvage du Tichodrome est la seule structure de soins pour animaux sauvages dans tout le département de l’Isère. La commune de St-Quentin-Fallavier est adhérente à cette association.
Le moustique tigre est implanté dans les 12 départements d'Auvergne-Rhône-Alpes : on compte 800 communes colonisées et 66% des habitants de la région sont directement impactés. Face à cette situation, les risques qui pèsent sur la santé augmentent chaque année et invitent à la mobilisation de chacun (particuliers, collectivités, professionnels) pour stopper sa prolifération sur le territoire. Notre commune est confrontée depuis quelques années.
Le « moustique tigre », ou Aedes albopictus, est une espèce envahissante, source de nombreuses nuisances pour l'homme dans notre région.
Plus petit que les moustiques que l'on connaissait jusqu'à présent, le moustique tigre mesure en moyenne 5 millimètres. Il est rayé noir et blanc sur les pattes et l'abdomen. Il est très vif, ne fait pas de bruit quand il vole et pique généralement le jour.
Au-delà des nuisances qu'il peut générer au quotidien, le moustique tigre peut véhiculer des maladies virales (dengue, chikungunya, zika) par le biais de ses piqûres.
Concrètement, le moustique peut contracter une de ces maladies en piquant une personne contaminée, revenant d'un voyage dans les zones tropicales où circulent ces virus. Il peut ensuite transmettre le virus en piquant une autre personne.
La vie des moustiques tigres est liée à l'eau. L'empêcher d'accéder à tous les contenants susceptibles d'accumuler de l'eau, c'est se garantir un été plus tranquille. Pour éviter sa reproduction et limiter les nuisances, il faut supprimer les lieux de ponte et de repos.
Les produits anti-moustiques (insecticides, répulsifs, pièges) ne permettent pas d'éliminer durablement les moustiques, outre le fait que ces produits ne sont pas toujours bon pour l'environnement.
Voici quelques gestes simples et essentiels à renouveler chez soi chaque semaine d'avril à octobre, et qui ne prennent que quelques minutes. En les appliquant, vous empêchez les moustiques tigres de vous envahir !
- Mettre à l'abri ou supprimer tous les contenants où l'eau peut s'accumuler (soucoupes pour les pots de fleurs, pneus, bâches, jouets, mobilier de jardin, pieds de parasols, etc.)
- Vérifier le bon écoulement des eaux de pluie (gouttières, regards, caniveaux, etc.) et entretenir son jardin (taille, débroussaillage, élimination des déchets végétaux) dans lesquels les moustiques tigres peuvent se reposer
- Couvrir les bidons, citernes ou bassins de récupération d'eau de pluie, les piscines gonflables hors d'usage, retourner les arrosoirs et brouettes
- Faire le tour de son extérieur dès qu'il pleut, avant et au retour d'une absence prolongée